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A french in Patagonia

A french in Patagonia
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24 mars 2009

Parc National los Arryanes

Voilà bien longtemps que je dois mettre des photos sur ce blog, alors aujourd'hui je le fais. Mais comme je suis un garçon très lazy comme tout le monde le sait. Je ne vais pas mettre de longue pensée. Il y a deux semaines je me suis rendu en bus sur la rive nord du lac (je suis au sud), pour aller voir le parc national interne à celui dans lequel je suis. Bref la route est magnifique. Apres j'ai pris un bateau pour me rendre au bout de la peninsule et j'ai traversée a pieds la peninsule pour revenir. Vous pouvez voir tous ca sur les photo: "parc national arrayanes. Voilà biz a tous;

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1 mars 2009

Voyage Bariloche Villa la Angostura

Jeudi, me voilà embarqué avec les amies suisses, vers les nord du lac direction Villa la Angostura, avec pour but de voir une enclave territoriale au sein du parc Nahuel Huapi, le parc national Arrayanes. 1 heures de route avec la société Arragobal. Le bus en ici ce n’est vraiment pas cher. 28 pesos l’aller retour a deux jours différents, soi environ 6 euros. Tous le long de la route vers le nord les paysages sont magnifiques en particulier à l’est où se trouve la steppe patagonienne. Je suis vraiment fait pour les paysages désertiques et leur immensité ouvrant toute possibilité de rêve. Ceci est en allant vers l’est pour joindre Bariloche à Villa la Angostura et contourner le lac. Et puis on revient vers l’ouest direction la frontière chilienne. La végétation augmente. Voilà les photos des paysages croisés pendant le voyage d’une heure.

1 mars 2009

Enfin de retour de nulle part

1er mars 2009, ouah dit con, comme dirais un certain ! Ca fait longtemps je n’avais pas écrit par ici. La vie continue, toujours à l’auberge. Moi qui adorais l’anglais après un an en Suède, voilà que je me mets à le détester. J’en peux plus des ces amerlocks et des roastbeefs qui débarquent ici et parlent fort comme si il n’existait qu’eux. Ces gens sont incroyables. Ils vous croisent dans la rue, ils vous disent « hello ». Ne sachant pas si vous êtes espagnols, argentins ou autres, ils vous parlent en anglais. Comme si tout le monde était sensé parler anglais. On critique les français mais en fait les anglo-saxon sont pareils. Et puis ils parlent fort, j’ai envie de leur couper la langue. Les pires sont les américains, un accent, qui ressemblent à un « fake », une mauvaise blague pas drôle. Putain et s‘ils sont New-yorkais je vous raconte pas. On a toujours l’impression qu’ils en rajoutent des tonnes. Et puis ces touristes « bagpackers ».  Putain mais ils ne savent parler de rien si ce n’est des lieux qu’ils ont visité en étant contents de payer 300 pesos pour faire du cheval une demi journée avec un « vrai  Gaucho ». Ils repartent persuadés de connaître le pays, en n’ayant vu trois paysages, et sans savoir comment les vrais gens d’ici vivent. Comment ils ressentent les choses. Je me fais une promesse : ne jamais ou a minima visité un pays sans s’intéresser aux gens qui le peuplent. Ils arrivent même à s’engueuler entre eux sur le Lonely Planet et son contenu. J’en peux plus, sortez moi de cet environnement.

 

A part ça que se passe-t-il ? J’avance tranquillement dans mes investigations. Je rencontre quelques personnes, obtient des rendez-vous et voilà. Mais ce qui est extraordinaire dans le métier de géographe chercheur à l’étranger de joindre l’utile à l’agréable. Donc cette semaine j’ai fait une balade vélo de 25 kilomètres. Je sais ce n’est pas énorme, mais ça crève bien quand ça ne fait que monter et descendre. Et puis on s’est arrêté je me suis baigné dans un lac, c’était super agréable. Voilà, je lance les photos de la balade est des dans l’album photo intitulé : balade à vélo à Llao Llao. Voilà les news pour la balade en vélo, d’autres photos et histoire sur le prochain article.

 

 

14 février 2009

Une journée en enfer

Vous pouvez voir les photos (journée en montagne) de la jounée de huit heures à marcher sous 30 degrés à l'ombre, 25 kms avec 800 mètres de dénivelé. L'enfer ressemble à ça, un endroit chaud d'où on ne voit pas la fin du chemin. Je remercie d'ailleurs Thomas Eddison pour son invention qui a permis à mes pieds d'eclairer ma chambre depuis deux jours. Bye, venez me rendre visite ony retournera nesemble

14 février 2009

Les nouvelles du front

Me voilà de retour parmi le monde des vivants. En effet la semaine a été "rude" grâce à la venue de mon cher directeur de recherche. Mardi, nous avons fait trois entretiens, enfin deux réels et un informel. Nous avons pu dégager grâce à cela ce qu'allait être la trame de mon travail. Donc plutôt positif. Nous avons rencontrer l'intendant du parc, se chama Juan (il s'appelle Juan). Un mec sympa, tout mou. Beaucoup d'infos prises sur le fonctionnement général du parc, donc un bon cadre de départ. Nous avons d'ailleurs eu le plaisir de rencontrer sa secrétaire daniela, lalalalalala, arrêtez les blagues je vous prie. Femme ô combien désagréable, qui s'est mis à sourire quand elle a vu que Juan son chef nous recever sans devoir en passer par elle.

Juste avant cela nous avions rencontré julieta Wallace, qui visiblement n'a pas de lien de parenté avec William wallace. Julieta est avocate et specialiste du droit des indigenes et travaille avec son ami Pablo Navaro, quui lui non plus n'est visiblement pas de la famille du commissaire. Enfin voilà, ceci c'était mardi. Après, Mercredi, nous sommes parti avec Sylvain (el señor Gouchotte), aux archives du parc, avec le señor Federico aux commandes, puis nous sommes allés nous balader du côté de chaochao (Llao Llao), pour prendre un peu l'air et quitter la ville, (les photos sont sur le dossier (premiers jour Sylvain).

Voilà, pour les premeir jours de la semaine, la suite pour les jours suivants.

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7 février 2009

L'arrivée à Bariloche

Vendredi 6 Février 2009

On change de paysage. Où en tout cas, c'est beaucoup plus riche. Attention ce 'nest pas byzance non plus mais comparativement, je suis dans le beverly hills de l'argentine. Tout à l'air artificiel et fait pour le touriste. Mais le paysage est magnifique. Le lac au pieds de la cordillère des andes est superbe. Je me rend à l'aurberge de jeunesse. Je regle tout et je decide de partir fair euan tour en ville; Premier contact avec l'artificiel.

Je déambule et tombe sur un petite librairie avec des livres sur les mapuche. J'en achete un qui a l'air de pouvoir me servir. Bariloche, enfin le centre touristique est comme un centre commercial géant. Les mapuche fabrique des petites poches de lavande pour tenter de gagner trois franc six sous. Bref allez regardez les photos sur la blog, dans mes albums photos et vous vous ferez votre propre idée. Tout se passe bien pour le moment plus de détail plus tard, we will see what will happen. Biz à tous de la montagne au bord du lac ou il fait environ 25 degrés et un grand soleil. Biz

7 février 2009

Une soirée à Buenos aires:

Nous atterrissons enfin à Buenos aires (voir album). Je me disais que quelquechose allait se passer mal. Of course: ils ont perdu mes bagages. Je m'en vais donc faire une déclaration. Par bonheur les valises se sont trompées de vols à santiago et ont attéris à Cordoba en Argentine. Ils me les enverront demain, jour d'arrivée à Bariloche. En arrivant à buenos Aires, c'est surprenant premeir chose qui me saute aux yeux, ou plutôt au nez, l'odeur. Je n'aurai jamais pensé que Paris soi aussi écologique. Je ne dirai plus jamais que je respire mal à Paris. Les voitures aussi, putain j eme crosi revenu au temps de mes grands parents ou parents agées. Ici tout marche à la vas-y comme je bricole. Les argentins ne veulent pas de voiture moderne pour deux raisons, la première, il n'ont pas les moyens et en plus comme c'est eux qui répare trop d'léectronique tu la débrouille. Oh les cons il n'ont qu'a se moderniser (lol).

Ah on passe sous un pont, Premeir contact avec la misère. Les cloches de france ont l'air plus riches. Ok ça met dans le bain, on a beau dire que Buenos Aires est la capitale économique et culturelle du pays, tous ne sont pas concernés. Désolé d'enfoncer des portes ouvertes, mais on le ressent différemment en le voyant qu'en lentendant ou le lisant. Bref voilà, je passe la soirée à Buenos Aires rien de spécial, je reste à l'auberge me reposer. De main lever 4h du mat pour aller à Bariloche. So I see you on another road.

7 février 2009

El viaje para ir a Buenos Aires

Mercredi 4 février 2009

 

Il est 15h30, et j'attends dans l'aéroport d'orly que mon vol à destination de Buenos Aires décolle. Il y a aura trois escales: Madrid, Santiago, et enfin Buenos aires. Ensuite je prendrais un autre avion pour me rendre à San Carlos de Bariloche. Les gens font des allers et retours dans l'aéroport, et moi je m'ennuie. Que c'est chiant les attentes dans les aéroports. Il n'y a rien à faire. Je fume clope sur clope, et je regarde les gens. J'aimerais qu'il y ai des activités ou autres, non. Les seuls choix qui s'offrent à nous se résument à acheter une carte de crédit AirFrance-KLM, dont vous ne vous servirez jamais, vendue par des vendeurs qui de toute façon vu la grande gueule qu'ils ont, n'ont à mon avis pas la capacité de faire mieux, et qui de toute façon voient tellement les billets que l'on associe au mot vendeur, à tord, qu'ils accourent pour faire ce genre de profession aussi artificielles qu'ils ne le sont. Vous pouvez également dans un aéroport acheter des bijoux, quelles idées curieuses, des sandwichs pour 6 Euro, pas cher mon fils, ou alors vous pouvez flâner dans les Relay où s'entassent magazines et autres journaux inintéressants pour la plupart. Bref c'est ennuyeux. Pas de masseuses, pas de jeu pour  enfants. Putain merde des boules, des toboggans pour les enfants, ce ne serait pas de trop. Non tout ce qui n'est pas d'ordre commercial et tout ce qui n'est pas destiné à te soutirer un peu plus de sous que le prix du vol, est banni de ces endroits. Je me suis timidement installé à une table de la boulangerie Paul, en espérant qu'on ne vienne pas me demander ce que je voulais commander. Pour l'instant personne ne vient. Alors j'ai décidé dans ce moment de « liberté » d'écrire quelques lignes. Voilà, je vais m'arrêter là et vais aller me refumer une cigarette, une de plus, en continuant à regarder le chaland passer. Et puis j'irai voir si mon vol commence enfin à être enregistré. See you.

Jeudi 5 février 2009:

Je suis dans l'avion entre Madrid et Santiag. Un airbus A340. Confortable l'engin. Bien servi: "nice". Putain c'est long l'avion pendant quatorze heures, surtout pour un claustrophobe comme moi. Bon allez je vais prendre mon mal en patience en dormant un peu, mes yeux se fermant devant le GPS qui nous montre combien de temps nous reste. Je crois que je n'avais pas ressenti cette ennui depuis le jour où je travaillais à Madrange, face à la pendule. Souvenirs, souvenirs... Allez nos vemos en Santiago

Nous voilà à Santiago. Le pilote annonce trente degrés. La dernière fois que j'ai touché le sol, il faisait -4 et il neigeait. Ça va faire drôle. Allez je me lance, je sors la tête de l'avion pour gagner le hall. Ok là je stop de suite: opération mettre la pull et le blouson dans le sac. Putain ,c'est pas permis une telle chaleur. Ils sont fous ces chiliens. Bon allez plus que trois heures d'attente dans l'aéroport de santiago et je pourrais décoller pour Buenos Aires. Putain je suis pas encore arrivé. Heureusement, dieu inventa internet gratuit dans l'aéroport de Santiago. I am gone a chat a bit. Vises. (Avoir l'album appelé: quelques photos du voyage)

 

1 février 2009

Mais où est Renaud ?

Pour que vous sachiez où je me trouve, voici une carte de localisation. J'habite actuellement dans la ville de San Carlos de Bariloche où je devrais rester pour les trois mois et demi, avec si possible entre temps des pélerinages en d'autres lieux afin d'essayer de découvrir un peu le pays. La ville se trouve au bord d'un lac aussi grand que le lac Léman. Au pied de la Cordillère de Andes, au milieu du parc national Nahuel Huapi, au nord de la patagonie, la ville compte environ 130 000 habitants, et possède une station de ski. Située à 30 kilomètres de la frontière avec le chili, je pense que je vais aussi me rendre au chili. Voilà, des photos viendront par la suite bien évidemment, mais en attendant regardez la carte.

Copie_de_localisation_zone_d__tude2

1 février 2009

Voyageons ensemble

Les voyages sont ces instants de rencontre et de découverte de choses nouvelles. Ils sont les forgerons de nos vies, et la façonnent chaque jour un peu plus, avec leurs lots d'emmerdes et de joies. Ce blog est le lieu de partage de mon voyage: voyage en Argentine bien sûr, mais également voyage à travers moi. Car voyager, c'est aussi se découvrir. Découvrir celui que l'on est, avec toujours l'espoir qu'au milieu de tous ces périples, vous trouviez enfin un jour l'endroit où vous pourrez vous dire tout simplement : "je ne veux plus bouger, je veux rester figé là sans même penser à autre chose." Cet instant où le monde autour de vous se coupe, et vous vous sentez heureux tout simplement. Allez, voyagez avec moi...

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