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A french in Patagonia
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7 février 2009

El viaje para ir a Buenos Aires

Mercredi 4 février 2009

 

Il est 15h30, et j'attends dans l'aéroport d'orly que mon vol à destination de Buenos Aires décolle. Il y a aura trois escales: Madrid, Santiago, et enfin Buenos aires. Ensuite je prendrais un autre avion pour me rendre à San Carlos de Bariloche. Les gens font des allers et retours dans l'aéroport, et moi je m'ennuie. Que c'est chiant les attentes dans les aéroports. Il n'y a rien à faire. Je fume clope sur clope, et je regarde les gens. J'aimerais qu'il y ai des activités ou autres, non. Les seuls choix qui s'offrent à nous se résument à acheter une carte de crédit AirFrance-KLM, dont vous ne vous servirez jamais, vendue par des vendeurs qui de toute façon vu la grande gueule qu'ils ont, n'ont à mon avis pas la capacité de faire mieux, et qui de toute façon voient tellement les billets que l'on associe au mot vendeur, à tord, qu'ils accourent pour faire ce genre de profession aussi artificielles qu'ils ne le sont. Vous pouvez également dans un aéroport acheter des bijoux, quelles idées curieuses, des sandwichs pour 6 Euro, pas cher mon fils, ou alors vous pouvez flâner dans les Relay où s'entassent magazines et autres journaux inintéressants pour la plupart. Bref c'est ennuyeux. Pas de masseuses, pas de jeu pour  enfants. Putain merde des boules, des toboggans pour les enfants, ce ne serait pas de trop. Non tout ce qui n'est pas d'ordre commercial et tout ce qui n'est pas destiné à te soutirer un peu plus de sous que le prix du vol, est banni de ces endroits. Je me suis timidement installé à une table de la boulangerie Paul, en espérant qu'on ne vienne pas me demander ce que je voulais commander. Pour l'instant personne ne vient. Alors j'ai décidé dans ce moment de « liberté » d'écrire quelques lignes. Voilà, je vais m'arrêter là et vais aller me refumer une cigarette, une de plus, en continuant à regarder le chaland passer. Et puis j'irai voir si mon vol commence enfin à être enregistré. See you.

Jeudi 5 février 2009:

Je suis dans l'avion entre Madrid et Santiag. Un airbus A340. Confortable l'engin. Bien servi: "nice". Putain c'est long l'avion pendant quatorze heures, surtout pour un claustrophobe comme moi. Bon allez je vais prendre mon mal en patience en dormant un peu, mes yeux se fermant devant le GPS qui nous montre combien de temps nous reste. Je crois que je n'avais pas ressenti cette ennui depuis le jour où je travaillais à Madrange, face à la pendule. Souvenirs, souvenirs... Allez nos vemos en Santiago

Nous voilà à Santiago. Le pilote annonce trente degrés. La dernière fois que j'ai touché le sol, il faisait -4 et il neigeait. Ça va faire drôle. Allez je me lance, je sors la tête de l'avion pour gagner le hall. Ok là je stop de suite: opération mettre la pull et le blouson dans le sac. Putain ,c'est pas permis une telle chaleur. Ils sont fous ces chiliens. Bon allez plus que trois heures d'attente dans l'aéroport de santiago et je pourrais décoller pour Buenos Aires. Putain je suis pas encore arrivé. Heureusement, dieu inventa internet gratuit dans l'aéroport de Santiago. I am gone a chat a bit. Vises. (Avoir l'album appelé: quelques photos du voyage)

 

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